Cependant, selon la Haute autorité sanitaire, il n’y a pas d’objection à une telle vaccination, si la personne infectée le souhaite.
Samedi 19 décembre, l’Autorité suprême de la santé a déclaré qu’il n’y avait pas lieu en France de vacciner systématiquement les personnes déjà infectées par le Coronavirus, mais rien ne s’y oppose si elles le souhaitent, selon un communiqué publié par la hâte.
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Cette clarification est à ajouter à une autre concernant les personnes âgées dans les institutions collectives autres que les maisons de retraite médicalisées, Il fait suite aux recommandations de la HAS du 30 novembre pour une future campagne de vaccination contre Covid-19.
Selon l’autorité suprême, “Observation scientifique” l’est “Jusqu’à présent, les données ne nous permettent pas de savoir s’il y a un avantage à vacciner des personnes qui ont déjà été infectées par le SRAS-CoV-2.»Le virus qui cause la maladie Covid-19. Par conséquent, HAS “On considère à ce stade qu’il n’y a pas besoin de vaccination systématique pour les personnes qui ont déjà développé une forme de symptôme de Covid-19A mon avis, l’AFP en a pris note. Par contre, j’ai remarqué l’absence. “Effets secondaires graves spécifiquesLorsqu’une personne infectée est vaccinée avec Covid-19. Par conséquent, j’ai conclu que rien n’empêchait une telle vaccination, si la personne infectée le désire.Après une décision commune avec le médecin».
Avant 2021
La HAS a également confirmé sa recommandation de donner la priorité à la vaccination des personnes âgées dépendantes dans les maisons de retraite médicalisées et des résidents âgés dans les établissements collectifs. Il a été déterminé que les soins de suivi et la rééducation ne sont pas impliqués dans cette première phase de la campagne de vaccination.
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Pas plus que des personnes handicapées sont hébergées dans des institutions, et l’absence de comorbidités ou d’âge avancé augmente le risque de développer de façon aiguë la maladie.
Enfin, la HAS confirme que les personnes atteintes de trisomie 21 sont considérées comme prioritaires pour la vaccination, tout comme celles présentant des comorbidités. En revanche, il stipule qu’à ce stade, les femmes enceintes ne doivent pas être incluses dans les groupes de population prioritaires.
Les premières vaccinations contre Covid-19 Interviendra “À partir de la dernière semaine de décembreMais pas avantFin du printempsPour les résidents non prioritaires, a annoncé mercredi le Premier ministre Jean Castex.
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